Le Club Africain cherche à sauver l’honneur lors de son déplacement à Sfax pour affronter le CSS. Malgré les nombreuses absences au sein de l’effectif de Beb Jedid, l’essaim de Fathi Abidi va essayer de réaliser un résultat positif si non il devrait faire preuve du respect de l’éthique sportif. Voici la formation probable du CA :
Atef Dkhili, Hamza Agrebi, Oussama Haddadi, Mohamed Ali Yaacoubi, Saif Tka, Achraf Zitouni, Maher Haddad, Khaled Lamouchia, Mourad Hedhli, Zied Ziedi et Jodel Dossou.

EST-CSS : Les formations de départ


Dans le cadre de la 4ème journée de la phase des Play-offs, l'Espérance Sportive de Tunis accueille le Club Sportif Sfaxien, ce jeudi 23 mai à partir de 15h30 au Stade Olympique de Radès.
Voici les formations probables des deux formations pour ce classico :
EST : Ben Cherifia - Derbali - Dhaouadi - Antar Yahia -  Chammam - Afful - Aouadhi - Regued - Chehoudi,  - Mhirsi  - Akaichi.
CSS : Rami Jeridi - Youssoufou - Ali Maaloul - Amine Abbes - Boulaabi - Ferjani Sassi - Ndong - Ghazi Challouf - Houssem Louati - Fakhreddine Ben Youssef  - Kouyaté

ESS-CA : Onze de départ


L'Etoile du Sahel affronte, ce jeudi 23 mai à partir de 15h30 au stade Olympique de Sousse, le Club Africain pour le match de la 4ème journée des play-offs.
Voici les équipes probables pour le début de la rencontre :
ESS : Ben Ayoub - Brigui - Ghazi Abderrazak - Zied Boughattas - Radhouane Felhi - Kom - Bilel Ben Massoud - Bellakhal - Belaïd - Dramé - Mossab Sassi.
CA : Dekhili - Iffa - Yaacoubi - Jemal - Haddadi - Lamouchia - Hattan Baratli - Hedhli - Haddad - Djabou - Kasdaoui.
Le match retour de la demie de finale de la Ligue des Champions entre FC Barcelone et FC Bayern Munich sera diffusée en direct sur les chaines suivantes

voila la liste de chaine:
FCB VS BAYERN EN DIRECT
Ce soir, au Grand Stade Lille Métropole, Lille et Sochaux vont s'affronter pour atteindre des objectifs bien différents. 
Si Lille présente une saison plutôt régulière et se situe à la 5ème place du classement de Ligue 1, Sochaux traverse une période bien noire et peine à sortir de la zone rouge.
Le LOSC doit absolument gagner pour s'accorder une place en Ligue des Champions. Si victoire finale il y a, les Lillois passeraient devant Lyon et se placeraient à la 3ème place, sur le podium. Les Lionceaux, eux, sont 18ème et arrivent sur les terres lilloises avec 3 matchs sans victoires. Une situation bien négative avant de se mesurer à l'ogre lillois. 
Toutefois, les hommes d'Éric Hély savent qu'en cas de succès, ils peuvent se frayer un chemin hors de la zone fatale et remonter à la 15ème place. Malgré cet argument motivant, les joueurs de Rudy Garcia devraient s'imposer facilement. Lille rêve d'Europe et aura à coeur de prendre un sérieux avantage avant la rencontre phare du week-end, Lyon contre Saint-Étienne.
Voici 13 ans, le club «brodeur» s’était payé le luxe d’éliminer les millionnaires londoniens en Coupe de l’UEFA. Ancien gardien de l’Espenmoos, Jürg Stiel pense que les Bâlois peuvent décrocher leur ticket pour la finale.

Tout Bâle, et peut-être toute la Suisse, rêve d’un nouvel exploit rhénan demain soir contre Chelsea, champion d’Europe en titre faut-il le rappeler.
Cet exploit, le FC St-Gall l’a déjà réalisé lors de la saison 2000-2001, pour le compte du premier tour de la défunte Coupe de l’UEFA. A l’époque, les joueurs entraînés par Marcel Koller s’étaient très logiquement inclinés 1-0 à Londres face à l’armada anglaise emmenée alors par Ruud Gullit et Gianluca Vialli.
Deux semaines plus tard, le match retour, qui devait être une simple formalité pour le visiteur, allait pourtant échapper à toute logique, laissant Chelsea bouche bée et sans réaction. «C’était incroyable, se souvient aujourd’hui Marcel Koller. Je me souviens avoir dit à mes garçons avant le match qu'on n'avait pas besoin de marquer deux buts dans les dix premières minutes. On avait tout le match pour renverser la vapeur.»
Or après moins de 40 minutes, Sascha Müller et Amoah avaient déjà renversé le sablier. «On a dû essuyer leurs attaques après ça, explique l’actuel coach de l’équipe d’Autriche sur le site UEFA.com, mais on a écrit un chapitre de l'histoire du football suisse ce jour-là (…) Comme vous le savez, le football n'est pas uniquement régi par l'argent. Le cœur et la détermination font souvent la différence.»
Au lendemain de l’élimination de Chelsea, le Times avait écrit en une: «Le miracle de Saint-Gall.» Pour le portier Jörg Stiel, la victoire de St-Gall n’était pas totalement une surprise. «On a prouvé que l’on était une équipe mûre. Le retour était notre quatrième match européen seulement. On a vite appris!» Treize ans plus tard, Stiel pense que l’exploit est dans les cordes du FCB. «Bâle est capable d'aller en finale», pronostique-t-il.
A Dortmund, un quadruplé de Robert Lewandowsky permet au Borussia de gagner 4-1. C'est Cristiano Ronaldo qui avait signé l'égalisation provisoire pour le Real Madrid.

Le printemps est allemand! Au lendemain du 4-0 infligé par le Bayern Munich au FC Barcelone, le Borussia Dortmund (BVB 3.015-3.98%a fait presque aussi fort en s’imposant 4-1 devant le Real Madrid en match aller des demi-finales de la Ligue des Champions. Tout indique que la finale, qui aura lieu le 25 mai à Wembley, opposera les deux meilleures équipes de la Bundesliga. Même si leur encéphalogramme semble moins plat que celui du Barça, les Madrilènes seront vraiment confrontés à une véritable mission impossible. On voit mal, en effet, comment Dortmund pourrait ne pas marquer à Santiago Bernabeu. L’entraîneur Jürgen Klopp possède à la fois un véritable joyau en la personne de Marco Reus, dont la vitesse et la vista ont posé des problèmes insolubles aux défenseurs madrilènes, et d’un buteur au sang-froid extraordinaire avec Robert Lewandowski. Le Polonais fut le grand homme du match en devenant le premier à réussir un quadruplé en Ligue des Champions face au Real Madrid. Il a frappé aux 8e, 50e et 55e et 67e minutes. Une réussite extraordinaire pour un homme que l’on dit sur le point de signer au... Bayern Munich.
Un premier raté
Borussia Dortmund attaquait cette demi-finale qui survenait deux semaines après le miracle de Malaga et vingt-quatre heures seulement après l’annonce du départ de Mario Götze au Bayern Munich comme s’il s’agissait d’un simple match de Bundesliga contre Greuther Fürth. Le pied au plancher ! A la 7e minute, c’est Reus qui donnait le signal. L’ancien joueur de Mönchengladbach semait pour la première fois la panique dans la défense du Real avec une frappe détournée du bout des doigts par Diego Lopez qui aurait pu, qui aurait dû plutôt, faire le bonheur de Lewandowski. Drôle de manière de commencer une soirée qui allait être la plus belle de sa carrière.
Le buteur polonais se rachetait de la plus belle des manières une minute plus tard. Il se jetait comme un mort de faim sur un centre de Götze pour l’ouverture du score. Un premier but pour l’attaquant qui allait devenir le cauchemar de Pepe. Le Portugais fut, en effet, encore abusé à deux reprises par l’efficience dans le dernier geste du Polonais. A la 50e, Lewandowski marquait le 2-1 en contrôlant une frappe de Reus à l’extrême limite du hors-jeu. Cinq minutes plus tard, il signait son chef -d’oeuvre de la soirée sur un service de Schmelzer: contrôle, roulette pour éliminer Pepe et frappe imparable dans la lucarne ! Enfin, il réussissait le quadruplé en transformant en force à la 67e un penalty accordé pour une faute de Xabi Alonso sur Reus. Un Reus qui fut presque aussi «grand» que ce diable de Robert Lewandowski.
Le 50e but de Ronaldo
K.O. comme Barcelone la veille à Munich, le Real n’a existé que dans le dernier quart d’heure de la première mi-temps. Quand Khedira et Xabi Alonso sortaient enfin de leur torpeur. L’Allemand et le Basque n’étaient plus submergés par la vague jaune. Ils pouvaient offrir des premiers ballons à Higuain et à Ronaldo. Mais le Real a surtout eu besoin d’une incroyable bourde de Hummels pour égaliser juste avant la mi-temps. Le défenseur central perdait de manière presque incompréhensible le ballon devant Higuain. L’Argentin pouvait décaler de manière idéale Ronaldo pour le 1-1. le Portugais inscrivait son 49e but de la saison qui était aussi son 50e en Ligue des Champions. Maigre consolation.
Aussi incrédules que les Catalans à Munich, les Madrilènes évitaient une correction plus sévère encore. Ils le devaient en grande partie à leur gardien Diego Lopez. Leur meilleur homme.
Borussia Dortmund - Real Madrid 4-1 (1-1)
Signal-Iduna-Park. 65 829 spectateurs (guichets fermés). Arbitre: M. Kuipers (PB).
Buts: 8e Lewandowski 1-0, 43e Cristiano Ronaldo 1-1, 50e Lewandowski 2-1, 55e Lewandowski 3-1, 67e Lewandowski (penalty) 4-1.
Borussia Dortmund: Weidenfeller; Piszczek (83e Grosskreutz), Subotic, Hummels, Schmelzer; Bender, Gündogan (92e Schieber); Blaszczykowski (82e Kehl), Götze, Reus; Lewandowski.
Real Madrid: Diego Lopez; Ramos, Varane, Pepe, Fabio Coentrao; Khedira, Xabi Alonso (80e Kaka); Özil, Modric (69e Di Maria), Cristiano Ronaldo; Higuain (69e Benzema).

Ce Paris est pathétique. Pathétique d'apathique, de manque de courage, de volonté. De talent. Bref, de tout. 
Cette équipe parisienne sera peut être titrée championne de France dans quelques semaines, mais elle ne marquera vraiment pas l'histoire du foot. Ce soir, elle a vécu une sortie de route dramatique à Evian, aux tirs au but. Un match minable au cours duquel le leader du championnat aura affiché un mépris parfois irréel pour son adversaire, la compétition, et même son sport.
Totalement contre le cours du jeu, Pastore ouvrait le score. Ce sera bien le seul coup d'éclat de l'Argentin, absolument affligeant ce soir, ratant toutes ses passes, et avec le sourire la plupart du temps. Ibrahimovic, lui aussi, n'aura cette fois-ci pas sauvé une prestation catastrophique par un but. Ménez a joué, parait-il. Et dire qu'il demande du temps supplémentaire...
Bref, Paris s'est fait sortir par une formation très moyenne, mais courageuse, elle, qui aura égalisé en toute logique juste avant la pause.
Après le repos, au lieu de tout donner pour se faire pardonner, Paris aura dormi, totalement. 
Il faudra changer beaucoup de choses lors du mercato, après cette saison au bilan comptable moyen, et au jeu affligeant. Il faudra peut être changer l'entraineur, Carlo Ancelotti n'ayant à l'évidence pas la poigne nécessaire pour motiver une bande d'incapables qui a fait de la fumisterie la première de ses vertus.

Quais assuré du titre en Ligue 1, le club de la capitale cherchera désormais à aller décrocher le doublé coupe-championnat.
À un cheveux, la saison du PSG pourrait être une copie presque conforme de celle du Bayern, en moins flamboyante, certes. La où Munich s'est assuré un nouveau titre de champion, le PSG vole vers son troisième sacre national. Là où le Bayern est qualifié pour la finale de la Coupe d'Allemagne, Paris pourrait l'être ce soir pour le dernier carré de la Coupe de France. La différence majeure, bien entendu, réside dans cette qualification pour la demi-finale de Ligue des Champions, que les Parisiens auront manqué d'un rien.
Ce soir, le club de la capitale devrait faire nettement moins bien que le Bayern, en coupe. Les Bavarois ont démoli Wolfsburg hier, 6-1. À Évian, on ne demandera pas la même performance aux hommes de Carlo Ancelotti. Mais simplement de passer.
Face à une équipe totalement imprévisible, Paris devra doublement se méfier. Tout d'abord, de lui même. On l'a vu encore sur la pelouse de Troyes, samedi, Paris a presque toujours du mal face aux "petits" du championnat. Faire le jeu, dominer, écraser son adversaire: le PSG ne sait pas faire, ou si peu. Motif d'espoir, malgré tout: son meilleur match face à un mal classé avait été réalisé face à...Évian, lors du match aller en championnat, au Parc des Princes. Les probables futurs champions de France avaient alors explosé leur adversaire, 4-0, en pratiquant un football de haut niveau, fait de pressing constant, d'occasions multiples et de buts collectifs. 
Ce soir, bien entendu, tout devrait être différent. Le match se déroule à Annecy, et Évian semble être dans une meilleure dynamique. Victorieux de Rennes 4-2, lors de la précédentes journées, les partenaires de Cédric Barbosa ont pris une grande bouffée d'air pure dans leur quête de maintien. De quoi aborder plus sereinement ce quart de finale face au monstre du championnat.
Un monstre malgré tout amputé de Lucas, qui a besoin de souffler. Mais inutile de préciser que Carlo Ancelotti devrait aligner sa meilleure équipe, ce soir. Avec neuf points d'avance sur le deuxième en Ligue 1, Marseille, Paris a de quoi voir venir.